• Écrit le 8 mars 2012

     

     

                Covent Garden est l’histoire de Clara, fille de famille aisée, qui a trois ami, Thibaut, gay, Pauline, la fille timide et Chloé, la fille délurée. Tout quatre sont riches et s’en vante. Mais tout va changer entre eux lors d’un voyage organisé à Londres. Clara va commencer à se remettre en question. Finalement, au cours de ce voyage, elle va faire un geste d’une grande envergure qui va changer toute sa vie, et sa façon d’être. Plus personne ne la verra de la même façon. Est-ce un bien ? Est-ce un mal ?

     

                Covent Garden est un livre écrit à la première personne. Ce n’est pas en problème en soi, mais si le personnage n’était pas aussi orgueilleux et narcissique cela serait certainement beaucoup plus plaisant. Elle nous fait croire que c’est une pauvre petite chose malheureuse alors qu’elle a pour les autres des pensées plus souvent négatives qu’autre chose. Elle se sent clairement au-dessus des autres, même si elle ne s’en rend pas compte. De plus, elle se laisse aller dans de longue description de ses amis, de sa maison, chose qui n’est absolument pas naturel. Qu’importe que ce soit elle qui parle, il n’est pas habituel de perdre des pages en description. Clara est un personnage particulièrement énervant. Elle se met toujours au-dessus des autres, elle le dit clairement, et quand bien même elle dit à un moment qu’elle est peut-être comme ses amis dans le fond, il n’empêche qu’elle les enfonce toujours. Même étant ami avec eux, elle se sentait supérieure, mais les suivait pour ne pas avoir à rester seul. Et chose la plus outrageante dans ce livre ce sont les « valeurs » qu’on vous inculque. NON. Ce ne sont pas des valeurs, c’est l’inverse. Des exemples ? Il n’y a que ça. A un moment donné, un personnage incite clairement deux des personnages à coucher ensemble dès le premier soir alors qu’ils ne se connaissaient QUE de vue avant et ce sont seulement rendu compte qu’ils se plaisaient alors qu’ils étaient à Londres. Ou encore ce moment où elle désobéit à son professeur et que ce dernier revient vers elle et lui dit Ô combien il est admiratif pour elle, qu’il aurait voulu pouvoir faire la même chose qu’elle à son âge.

     


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  • Écrit le 16/02/2015

    Dracula de Bram StokerDernièrement, lors d’une question à un jeu télévisé, j’ai appris que Dracula était classé dans les romans épistolaires. Ce qui m’a surpris ! Je déteste les romans épistolaires, j’ai adoré Dracula. J’ai donc pris le livre et me suit replongé dans l’aventure. Si douce et bien écrite que j’en ai oublié que c’était bien un roman épistolaire.

    Cette histoire a été écrite à la fin du dix-neuvième siècle et pourtant, j’ai été surprise de voir à quel point le langage était aisé. Certes, il y a quelques mots peut-être un peu plus difficile à comprendre mais si peu. Il est étonnant de voir qu’un roman a pu à ce point traverser les décennies, tant à cause de la forme que du fond. Et pourtant !

    Que l’on ait quatre-vingt ou vingt ans, que l’on soit du début du vingtième siècle ou du vingt-et-unième, tout est accessible à tout le monde ?

    Bram Stoker parvient à nous faire passer d’un personnage à l’autre avec aisance. On sent les différentes personnalités ce qui donne un aspect des plus vivants ! Et ce sont toutes ses personnalités qui font courir l’histoire dans un vrai jeu de ping-pong. On a plusieurs vues et si rien n’est écrit au présent, tout est pourtant très vivant.

    Certes, par moment, on a l’impression d’avoir moins de sentiments et je vois surtout le moment où Mina apprend la mort de Lucy qui semble tellement plat écrit dans un journal. Mais ce n’est qu’un journal, on peut comprendre quelques difficultés.

    On peut aussi pardonner les quelques aspects misogyne de l’histoire. Parce que, à l’époque, il n’y avait pas d’actes réellement misogyne.

    Si la fin semble un peu abrupt, elle est quand même bien ficelée et termine avec brio une belle histoire qui nous emmène lentement dans un univers emplit de découverte et de mythe.

    J’aime comme Bram Stoker a réussit à nous emmener dans différentes personnalités, la douceur, l’horreur, la passion, le dégoût, la gentillesse et la méchanceté. Chaque personnage est bien construit et plusieurs étapes du monde sont même décelées. On peut voir, par exemple, Lucy passer de la douceur et l’innocence à l’horreur et la volupté.

    Malgré certains aspects misogyne et d’autres quelques peu gentillets (pour ne pas dire « bisouours ») cette histoire traverse le temps avec beauté. Et elle le traversa encore.


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  • Écrit le 12 Mars 2012

     

    Entretien avec un vampire est une histoire axée il y a quelques années, presque cent, voire plus. Entretien avec un vampire de Anne RiceOn ne situe pas vraiment les époques et les temps. C’est l’histoire de Louis qui va être transformé en vampire par Lestat qui désir avoir ses terres. Cependant, au fil du temps, Lestat va avoir des sentiments pour Louis, le poussant à transformer Claudia en vampire pour le garder près de lui. C’était sans compter que Claudia finirai t par le détester, voudrait Louis pour elle toute seule et déciderait de le tuer. Peu après la mort de Lestat, ils se rendent en France où leur destin va être bien vite scellé par l’horreur du monde.

                Entretien est un livre fantastique. Anne Rice se perd parfois dans de long moment vide, mais son écriture rend la chose absolument pas dérangeante. C’est même un beau repos par rapport à la complexité des relations avec les personnages. On comprend aisément les sentiments des personnages, on peut se fonder dans leur vie, dans leur pensée, dans leur douleur. Par ailleurs, le livre est très sinistre, très noir, il ne faut pas avoir l’estomac accroché pour lire ça, mais c’est fort conseillé. On peut lire des passages horribles, mais, l’histoire garde ses mystères et ses bonnes surprises. On découvre à chaque page un monde plus agréable encore qu’avant. On est face à la véritable nature humaine grâce aux différents caractères, ils sont montrés par des vampires, mais on peut bien y voir toute l’horreur de l’humanité. Haine, jalousie, meurtre, désir, etc.

                On ne voit plus le monde de la même façon après avoir lu ce livre.


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  • Harry Potter est peut-être bien un des livres les plus connus au monde et sans doute l’un des plus critiqués (en bien comme en mal). Toutefois, je me permets d’ajouter une critique sur le sujet.

     

    Écrit le 19/11/2014

     

    Il m’est bien impossible de dire quand j’ai lu Harry Potter à l’école des sorciers pour la première fois, ni combien de fois je l’ai lu. Mais une chose est sûre : chaque lecture est un véritable déHarry Potterlice. Même en connaissant l’histoire par cœur, on ne peut qu’apprécier le style de l’auteur et l’univers dans lequel elle nous entraîne.

    L’histoire se place rapidement et Madame J.K. Rowling réussit avec brio à créer un monde merveilleux dans lequel on ne fait que rêver de se plonger. Tantôt elle fait appel au folklore de sa nation et de celles à proximité, tantôt elle l’innove, crée ou modifie. C’est un plaisir de pouvoir découvrir ou redécouvrir toutes ses créatures fantasques à travers les yeux d’une auteur dotée d’un tel talent.

    Les personnages qu’elle nous offre sont tous très réalistes et attachants à leur façon. Ses héros eux-mêmes sont magnifiquement construits, alliant avantages certains à désavantages des plus handicapants. Si Harry Potter est un enfant malingre, myope et qui ne connaît de son prestigieux monde, c’est un survivant, un héros et un attrapeur de prestige. Tant et si bien que l’on ne peut foncièrement détester le personnage, mieux, il y a moyen de s’y identifier d’une façon plus évidente, quand bien même nous n’avons pas la chance de pouvoir plonger dans un univers magique à son instar.

    D’ailleurs, Madame J.K. Rowling a usé d’un merveilleux tour de force que j’affectionne particulièrement en créant un petit sorcier qui ignore tout de son vrai monde. Ainsi, nous pouvons découvrir en même temps que lui tous les atours des créatures ensorcelées du Royaume-Uni, Poudlard ou encore le Quidditch. Elle ne se confond alors pas en explications inutiles pour les personnages qui sembleraient horriblement forcées.

    En 287 mots (exactement) comme en quelques-uns, Harry Potter à l’école des sorciers est un roman que je conseille aux petits comme aux grands. Les éléments s’enchaînent rapidement, le style de l’auteur est très agréable et le monde merveilleux. Les intrigues y sont à la fois simples et subtiles et Madame J.K. Rowling sait soulever des éléments plus houleux (comme le miroir du Riséd ou la mort) avec une essence que bien peu possèdent.

     

    Écrit le 20/11/2014

     

    Harry Potter

    Avec Harry Potter et la chambre des secrets Madame J.K. Rowling nous livre encore plus de son monde toujours avec autant de brio. Aux ensorcellements et aux autres fantaisies magiques s’ajoutent des voitures volantes invisibles, un arbre fou et un ennemi qui m’a toujours plu. Elle nous délivre encore plus des secrets sur son petit héros, entre fourchelangue et peur de ne plus être digne de Gryffondor, Harry Potter a bien des choses à faire !

    Encore une fois, l’intrigue se construit bien. Et la principale est autant plaisante que les sous-jacentes (comme la vérité sur Gilderoy Lockart pour ne citer que celle-là).

    On a également le plaisir de voir évoluer Harry, Ron et Hermione qui nous prouvent qu’ils sont toujours des enfants à faire des bêtises (certes Hermione moins) tout en apprenant des choses. Encore une fois, son histoire est criante de vérité malgré l’univers fantastique dans lequel elle nous baigne. Et c’est ça qui est merveilleux !

     

    Écrit le 25/11/2014

     

    Harry PotterMadame J.K Rowling nous offre un troisième épisode de son petit sorcier avec Le prisonnier d’Azkaban. Dans cet ouvrage, elle nous montre qu’elle est capable de faire des choses plus inquiétantes qu’on ne le croirait vraiment dans les deux autres tomes. Même si la mort est soulevée rapidement dans La Chambre des Secrets elle prend un tour beaucoup plus violent avec les personnages de Sirius Black et de Peter Petigrow. De plus, grâce au personnage de Remus Lupin, nous avons une autre vision du rejet que peuvent avoir tout à chacun contre quelqu’un de considérer comme anormal.

    Avec d’autres atours ingénieux et créations fantastiques (tel que la carte des maraudeurs, le magicobus et le village de Pré-au-lard) Madame J.K Rowling nous entraîne encore dans une merveilleuse histoire, où l’on découvre un peu mieux les personnages. Tant les principaux que ceux qu’on ne croyait pas développable comme les parents d’Harry eux-mêmes.

    Avec ce volet où se mêle fantastique et vie normale, douceur et horreur, Madame J.K Rowling nous prouve encore qu’elle a du talent et que les aventures de son petit sorcier valent le détour.

     

    Écrit le 1/02/2015

     

    Le volet quatre de Harry Potter marque un nouveau tournant bien sombre. En effet, ce sont des Harry Pottermachinations qui tombent sur Harry. Alors que son année commence par un merveilleux match de Quidditch, il se passe déjà quelque chose qui casse sa joie : on a déployé la marque des ténèbres. Celle de Lord Voldemort. Et lorsqu’il croit pouvoir profiter d’une année festive à l’école, il se retrouve en plein milieu du Tournoi des Trois Sorciers.

    Entre problèmes d’amitié, machination, craintes et aventures trépidantes plus ensorcelantes les unes que les autres, J.K Rowling soulève aussi de graves problèmes. En effet, les Elfes de Maisons sont exploités et Hermione compte bien les aider. Mais on peut aussi apercevoir ce que sont les vrais journalistes ! Ou encore ce qu’est la vie d’une innocent condamné à se cacher.

    Sous le couvert d’une histoire qui paraît un peu enfantine, on est jeté dans des méandres bien plus inquiétants qui ouvrent le rideau pour des spectacles encore plus affreux. Mais souligné avec brio grâce à la plume experte de J.K Rowling.

    Mon seul désagrément vient des traductions françaises qui ont commis l’erreur de traduire « lepreuchaun » par « farfadet » mais je ne peu en tenir rigueur à la talentueuse J.K Rowling !

     Écrit 1/02/2015

    Harry PotterEt voilà qu’on se plonge dans un univers encore plus sombre. Monde du tribunal, Ministère qui essaie d’avoir main basse sur Poudlard, mensonge, tromperie et un combat pour la liberté. Sous les atours de moins en moins gentillets, J.K Rowling nous livre de plus en plus de mystère de son bel univers.

    Malgré la magie omniprésente, on peut encore s’y retrouver. Qui ne verrait pas son professeur le moins aimé dans cette horrible Dolores Ombrage ? Personnage que je n’apprécie que pour sa passion des chatons !

    Les différents protagonistes évoluent et prennent de plus en plus d’ampleur et de personnalité. Et nos trois héros prouvent qu’ils deviennent des adultes. Que ce soit dans leur combat individuel que dans un seul et même combat pour la liberté. Même si les élèves agissent contre les règles établies et sont rebelles, on ne peut que comprendre leur combat. On ne peut que les soutenir et se souvenir avec force que la liberté est importante ! Que nous devons tous nous battre pour cela.

    Écrit 1/02/2015

     

    Harry PotterDans ce volet, J.K Rowling s’enfoncent un peu plus dans les méandres de l’innommable. Mais cette fois, elle utilise le passé de Lord Voldemort pour se faire. Et je suis obligée d’avouer que ça a été mes passages préférés. Ayant une fascination pour ce personnage (même s’il est le méchant) j’ai adoré pouvoir apprendre à le connaître. J’ai par contre beaucoup moins aimé toutes ses histoires d’amour qui s’embrigadent l’une dans l’autre. Mais on ne peut pas le reprocher à J.K Rowling. Ses personnages ont seize ans et c’est une bonne chose qu’ils s’y intéressent maintenant et pas avant !

    Au fil de ce volet, de ces souvenirs et de ses relations tortueuses, J.K Rowling dévoilent d’autant plus ses personnages que ce soit Albus Dumbledore qui semblait blanc comme neige ou encore Drago Malefoy qui se doit de plonger dans l’horreur pour sa famille. À l’aide de sa justesse imparable, J.K Rowling réussit encore un tour de brio qui nous tient en haleine avec grand plaisir. Et ce malgré les moments que je trouve plus vide.

    Écrit le 1/02/2015

    Harry PotterVoici le dernier volet. Un dernier plongeon dans le merveilleux univers que nous a offert J.K Rowling et dans lequel j’aime replonger encore et encore.

    Cette fois-ci, entre scènes de camping, liesse et tristesse, nous sommes au cœur de l’horreur. Combien de morts ne comptons-nous pas ? Combien d’horreur ? Et de tour inquiétant. On a peur pour les héros, on prie pour qu’ils réussissent leur quête qui semble de plus en plus rude. Et, dans cet univers merveilleux et atroce à la fois, J.K Rowling garde une justesse des plus appréciables. Que ce soit dans la logique des personnages qui les rend humain ou dans les faits en général.

    On saute aisément d’une action à l’autre, on ne peut s’empêcher de garder haleine et, bonheur suprême : Les héros ne parviennent pas à faire tout ce qu’ils veulent comme ils le veulent au moment où ils le veulent.

    Ce réalisme criant qui se mêle à la magie rend d’autant plus appréciable tout ce qu’il y a à côté. L’histoire des reliques de la mort et des horcruxes, les relations entre les personnages ou encore le passé d’Albus Dumbledore enfin révélé. Tant de choses qui nous prouvent qu’on ne connaît pas toujours nos proches, que notre destin n’est peut-être pas aussi tracé qu’on le croît et, surtout, que la magie, l’amour et l’amitié sont des valeurs sûres et importantes !

     

     

     

    Harry Potter…

    Un merveilleux voyage.

    Une merveilleuse histoire.

    Voilà comment un petit sorcier de onze ans traverse les années et les épreuves pour nous entraîner dans un monde tortueux. Un monde qui nous renvoie cruellement à l’horreur du nôtre et nous permettra, peut-être, d’y voir des solutions. Comment ne pas s’horrifier dans l’abattage de moldu d’une façon que trop désagréable et trop familière à une situation que nous connaissons ?

    Harry Potter a été considéré comme de la littérature jeunesse et c’est certainement l’une des « littérature jeunesse » que j’aime le plus. Elle allie le côté doux et innocent de l’enfance à l’horreur et à la dureté du monde des adultes !

    Pour ces romans si merveilleux, je remercie milles fois J.K Rowling. Et il me tarde d’avoir le temps, un jour, de m’y plonger une nouvelle fois. Et peut-être, pourquoi pas, dans leur langue d’origine ?

     

     

    Je serais ravie d'avoir votre avis, quelque soit le tome en question.


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  • Illusion d'optique de Sophie Ducharme 

    Ecrit le 3 Mars 2012

     

          Illusion d’optique de Sophie Ducharme porte très bien son nom. En effet, le livre attire immédiatement le regard, de par sa couverture, son nom attrayant et même le quatrième de couverture d’une originalité inouïe, malheureusement la lecture du livre est une vraie déception.

        

     

                Illusion d’optique est un livre qui se sépare en deux parties. La première a un style ressemblant aux scénarios. On décrit l’endroit et les circonstances mais les actions sont généralement décrites par la pensée d’un des narrateurs. Quant à la seconde partie, elle est purement narrative. Toutefois Illusion d’optique est avant tout l’histoire de Louise Soulanges qui atteint ses dix-huit ans dans les premières pages du récit. Son père a disparu voilà huit ans et sa mère refuse de lui en donner les raisons. C’est simple, son père est un sujet tabou. Déçue qu’il ne soit pas là le jour de son dix-huitième anniversaire, alors qu’elle n’attendait que ça, Louise décida de jeter les cadeaux que lui avait offerts son père. C’est ainsi qu’elle rencontrera Sébastien qui veut courir le marathon, lors d’un accident. Cette drôle de rencontre, plutôt douloureuse, lui permettra de rencontrer René, le grand-père de Sébastien, médecin au grand cœur élevant seul son petit-fils ainsi que Solange, une sage-femme douce et bonne à l’instinct maternel surdéveloppé. Ces nombreux contacts lui seront d’une grande aide pour savoir ce qu’il est advenu de son père et les raisons qui l’ont poussés à quitter sa femme et sa fille.

     

                On m’a demandé de lire cette histoire dans le cadre de l’école. C’est une très courte histoire d’une nonantaine de page. On est immédiatement jeté dans l’histoire sans aucune somation, on est un peu perdu au début. Qui est Louise ? Que veut-elle ? On est plongé dans un brouillard constant tout au long de l’histoire. On passe simplement de pensée en pensée. On ignore réellement ce qui se passe autour des protagonistes. On coupe des passages qui semblent important. On passe de la chambre de Louise à une berge près de la rivière avec une simple indication du nom du narrateur suivant.

    Quand bien même on est dans les pensées des personnages, il me semble que l’on manque d’indication quant à eux. De ce simple fait, on est incapable de rentrer dans l’histoire d’apprécier les personnages. On ne connait rien d’eux si ce n’est leur nom et une petite bride du passé.

    De plus, les personnages sont bien trop niais. Ils sont supposés avoir vécus des choses douloureuses mais se portent comme un charme sans que l’on ressente réellement la douleur de ses choses. Que ce soit dans leurs pensées ou leurs paroles. Ils sont bien trop idéalistes! Je n’ai pas pu m’attacher aux personnages, pas pu apprécier lorsqu'il leur arrivait quelque chose de bon.

    L’histoire était monotone et sans aucun fil conducteur et tout ça pour arriver à une fin parfaitement heureuse, voire niaise, d’un illogisme à coupé le souffle.

                En effet, les personnages d’Illusion d’optique vivent en pleine illusion.


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